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Le team-building vise un réel mieux-être au travail, tandis que l’incentive motive ses équipes avec des récompenses. Mettre en concurrence des salariés ou miser sur l’efficacité qu’apporte une excellente communication sont deux cultures d’entreprises différentes qui font quotidiennement leurs preuves. Quelques conseils pour optimiser les bénéfices de votre événement d’entreprise.
Team-building ou comment construire une équipe soudée ?
Il existe une variété infinie de séminaires et de professionnels expérimentés qui en maîtrisent l’organisation.
Des coachs qualifiés dans la psychologie au travail identifieront les blocages et suggéreront une activité en conséquence, en maintenant une ambiance légère et agréable : visites, philo, musique, arts du cirque, des moments émouvants qui vous souderont durablement. Le dépassement de soi est une subtile manière de découvrir des compétences ou faiblesses insoupçonnées, pour tous repartir dans la même direction : un objectif qu’une randonnée symboliserait parfaitement, à l’instar des forces s’additionnant quand elles vont dans une même direction.
Troquez les costumes contre un maillot de bain et découvrez une plage somptueuse au cours d’un bivouac en Corse ou sautez à l’élastique. M. le Directeur Adjoint et ses salariés ressentiront la même peur, de jolies expériences qui stimulent l’attachement et la loyauté.
Incentive, terme anglais signifiant « incitation »
L’incentive met en évidence les employés /l’équipe les plus performants d’une société en leur offrant un cadeau, séjour, expérience insolite, activité… Les choix sont ici aussi très variés. Leçon de pilotage aérien ou automobile sur circuit, cours de cuisine avec un chef étoilé, descentes en kayak pour les aventuriers, hébergement avec SPA.
Des formules internationales existent, bien évidemment, élargissant encore d’avantage les possibilités d’expériences intenses et inoubliables.
Des formules internationales existent, bien évidemment, élargissant encore d’avantage les possibilités d’expériences intenses et inoubliables.
En 2018, le journal Capital écrit un article appuyant les récentes alertes de la CPAM ; la souffrance psychologique et burn-out sont la 2e cause d‘Affections Longues Durées, représentant au final, une perte d’argent non négligeable.